On apprend des merdias italiens que l’enquête ne concerne pas seulement les six personnes arrêtés ces derniers jours par la Digos mais une quarantaine de personnes. Cette enquête concernerait l’envoi de paquets explosifs, également « des documents et sites Web incitant à commettre des actes de violence contre les prestataires des centres d’expatriation », ainsi que le soutien des révoltes à l’intérieur du CPR [centre de rapatriement] de corso Brunelleschi à Turin, frappé par de fréquents incendies et saccages.
Les investigations de l’opération « Scintilla » regarderaient l’ensemble du réseau anarchiste turinois mais également de nombreux « activistes » d’autres régions et de l’étranger.
reformulé depuis la presse